A son tour, le côté du polygone
inscrit sera donné par l'intersection des deux
circonférences; en raison des proportions adoptées, ce
côté se trouvera être celui de l'heptagone, et quatre
niches se répartiront dans l'arc ainsi décrit. Tout le reste
de la figure dérive de l'assemblage de deux polygones
réguliers.
L'ornementation d'une coupole se résumait donc pour
l'Arabe en une épure de géométrie. C'était pour lui
l'énoncé d'un théorème d'esthétique : " Étant
donnée la coupole d'un monument, faire de sa surface interne
une polygonie qui reflète telle pensée. "
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