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ne cessa de se retourner vers le commandant militaire que j'étais,
pour me demander une aide et m'assurer de son concours complet.
Et si Moussa, au début de 1917, quitta le Hoggar, c'est qu'on
l'avait sans doute averti qu'à la suite de contre ordres
regrettables, la colonne de secours que j'avais conduite vers lui,
avait été disloquée et rendue sans objet.
Laperrine, de Foucauld, Moussa, tous trois sont morts; je voudrais
qu'un monument rassemblât ces trois figures
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