Au dehors du tambour,
l'intersection des deux hexagones détermine sur chaque angle
du carré un parallélogramme auquel s'assemblent deux
triangles isocèles égaux. Chacun de ces polygones devient la
base d'une pyramide rectangle qui, de proche en proche,
rachète le carré de la salle au tambour polygonal par une
succession de glacis dièdres (fig. 45), le sommet de la
pyramide angulaire affleurant la base des deux autres et le
sommet de celles-ci venant s'adosser au milieu des deux
côtés correspondants du tambour.
Quelquefois pourtant, on se contente d'inscrire sur le
carré un tambour octogone; quatre de ses côtés sont
également sur quatre côtés du carré. La transition
angulaire est alors ménagée par une pyramide triangulaire
dont le sommet est sur le milieu des côtés du tambour auquel
il se rattache ; à moins encore qu'elle ne le soit par une
pyramide quadrangulaire ayant son sommet sur l'angle du
carré.
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