Pages précédentes LA GRANDE KABYLIE   NOTE H Pages suivantes
  Retour page Table des matières
   
  
atteint de trois coups de feu ; le sergent de Char (blessé) ; le sergent-major de Heusse (blessé) ; le sergent Pots ; le sergent Destouches (blessé) ; les caporaux Desmarais et Leprévost (blessés) ; le zouave Guichard, qui a sauvé la vie au capitaine Corréard et l'a emporté sous une grêle de balles ; les zouaves Bouton, Mounier et Caylus, qui ont tué chacun quatre Arabes à coups de baïonnette ; Agneaux (blessé), Porche (amputé), Amps (amputé), Boudrand (blessé) ; enfin, le zouave Duvivier.

Dans la compagnie de carabiniers du 3e d'Orléans : M. le lieutenant Hurvoi, commandant la compagnie (blessé) ; le sous-lieutenant Lantard, le sergent-major Revol, le fourrier Gastevin, le caporal Foisy (blessé), le carabinier Bonnet (blessé.)

Dans le bataillon d'élite : M. le capitaine du génie Jacquin, légèrement blessé ; MM. le capitaine Lamarque et le lieutenant Marion, du 8e d'artillerie. Ces deux derniers officiers ont été déjà remarqués pour être arrivés les premiers dans le combat du 12, sur la position qui a été défendue le plus vivement par les Kabyles : il est important de réparer l'omission par suite de laquelle leurs noms ne se sont pas trouvés dans le dernier rapport.
M. le lieutenant du génie Staniq, qui a combattu sur la droite avec les deux compagnies de zouaves ; les maréchaux-des-logis Damaret et Péter, des 7e et 8e d'artillerie ; le sergent du génie Merlin ; le caporal Jacquin, du génie, et le mineur Poligny.

Dans les tirailleurs indigènes : MM. le chef de bataillon Vergé, le lieutenant Ganly, le sous-lieutenant Valantin (blessé.) Dans le 3e léger : MM. le colonel Gachot, le commandant Bez, le capitaine d'Auribeau, le sous-lieutenant Hocquet, le lieutenant Vaquer, le sergent Durazzo, le carabinier Lantrin, et le voltigeur Larigaldi.

Dans le 26e régiment : MM. le lieutenant-colonel Guérimand, les capitaines Cavadini et de Berruyer, le lieutenant Pataud (blessé), 

    

 

   
le lieutenant Bergerel ; le sergent-major Dornaud, le sergent Rohan.
Dans le 48e régiment : MM. le colonel Renault, le chirurgien-major Robert, le lieutenant Fouret, le sous-lieutenant Glaentzer, l'adjudant Tapis ; les sergents-majors Benos et Fabre ; le sergent Turpin ; le caporal Leroux ; le voltigeur Chair.
Dans le 53e régiment : MM. le colonel de Smidt ; le capitaine Turpaud.
Dans le 58e régiment : MM. le lieutenant-colonel Forey ; le lieu tenant Ferry ; le caporal Bauress (blessé).
Dans l'artillerie : MM. le chef-d'escadron Lyautey ; le capitaine Chabord ; le maréchal-des-logis Raymond, du 12e régiment.
Dans la cavalerie : MM. le chef-d'escadron Denoue, du 1er régiment ; le sous-lieutenant Merlet, des spahis.

Je dois une mention particulière à M. le capitaine du génie Ducasse, commandant les sapeurs d'avant-garde, qui a combattu avec vigueur et opiniâtreté avec les deux compagnies de zouaves qui ont soutenu le combat le plus chaud : cet officier a été grièvement blessé.

Dans le train des équipages militaires, je citerai : Les maréchaux-des-logis Egrin et Barauque, et le brigadier Bonotte, qui ont enlevé les blessés sous le feu de l'ennemi ; M. le chirurgien principal Philippe, dont le zèle ne se dément jamais, cite particulièrement M. le chirurgien-major Ducrouzé, le sous-aide Souville, et l'adjudant d'administration de service aux hôpitaux, M. Suvin.

Je dois aussi des éloges à M. le colonel du génie Charron, et à M. le chef-d'escadron d'état-major L'heureux, votre officier d'ordonnance. Ces Messieurs m'ont accompagné pendant toute cette journée, et ont quelquefois transmis mes ordres.

 

 
Pages précédentes   Retour page Table des matières   Pages suivantes